Publié le Jeudi 20 août 2009 à 18:29:08 par Cedric Gasperini

GamesCom : Assassin's Creed II

Avec du scoop dedans

Assassin's Creed II n'était pas montré sur le salon. Du tout. Et pourtant, nous aurons eu l'honneur et le plaisir de le voir. Enfin, quand je dis nous, je parle de moi. Vincent ne me pardonnera jamais de m'être réservé cette présentation. Je ne me serai pas pardonné de lui avoir laissé.

Toujours aussi superbe, le jeu a dévoilé quelques aspects inédits de son gameplay. Les faits, pour le coup, se déroulent à Florence. Près de l'église Santa Maria, alors que le Palazzio Vecchio s'affiche au loin.
Ezio saute toujours dans les charrettes ou les bottes de foin. Il grimpe toujours aux murs. Il saute toujours de poutrelle en poutrelle, et il se balance même désormais sur des pots de fleurs suspendus. Et bien entendu, il tue toujours des gens. Au pistolet, parfois. A utiliser sur les toits exclusivement pour ne pas attirer l'attention tellement c'est bruyant. A la double lame rétractable aussi. Ce n'est plus seulement une personne qu'il peut poignarder de dos, dans la nuque, mais deux. Et bien entendu, au poignard, à l'épée... mais aussi au poison.

Ezio vole de l'argent. Parfois, un passant s'en rend compte et cherche la castagne. Il suffit de tirer sa lame pour calmer les ardeurs. Et enfin, Enzio aime les pigeons. Ces mêmes pigeons qui s'envolent des toits lorsqu'il court sur les corniches. Ces mêmes pigeons qui lui transportent des messages sur lesquels il trouve des missions à remplir.

Ezio jette aussi parfois de l'argent à terre, pour attirer les passants et pouvoir fuir.
Enfin, Ezio va aussi sous terre. Parfaitement. Il visite des catacombes dans un passage digne du dernier opus de Prince of Persia, à sauter, tirer des leviers, se suspendre...

Et pour finir, Enzio jette parfois des flacons de fumée pour masquer sa fuite.

Assassin's Creed II est un jeu non seulement magnifique, mais véritablement excitant. Son gameplay est plus riche, semble ô combien nettement moins répétitif et, surtout, a gardé ses combats chorégraphiés, son âme, son ambiance.

Un grand jeu qui se confirme.

Petite info : le jeu PC sortira à la bourre. Pas autant que pour le premier opus, mais il risque quand même de rater Noël.